Le blog du "Confort Intellectuel", qui soutient le GDiD depuis qu'il existe, vient de faire paraître un article dont je souhaite vous faire partager quelques lignes choisies (nous ne partageons pas forcément tout ce qui est écrit dans l'article) qui nous conviennent parfaitement:
"...
1) le travail ininterrompu et régulier du GDiD depuis quinze ans a finalement payé. Aujourd'hui plus personne ne nie la nécessité de rénover la gouvernance des écoles, sauf peut-être quelques ultimes réfractaires (...). Syndicats réformistes et politiques de tous bords sont désormais conscients que le système de pilotage des écoles est devenu inopérant malgré la bonne volonté des personnels qui en ont la charge - et le mot "charge" est exactement le terme qui convient -.
2) la création de la "classe exceptionnelle" (...) pourra difficilement être remise en cause, car elle procède de longues discussions avec les grandes centrales syndicales qui toutes aujourd'hui l'ont actée. Les accords PPCR dans la Fonction publique ont été un remarquable travail de longue haleine et ne seront pas renégociés. Même si cette "classe exceptionnelle" ne concernera que peu d'élus au cours de sa première année d'existence, je rappelle qu'elle a été inventée pour reconnaître l'investissement de plusieurs métiers particuliers de l’Éducation nationale dont prioritairement les Directrices et Directeurs d'école. (...)
Notre éventuel statut (...) ne pourra passer que par une redéfinition de celui de l'école. La création d'établissements du premier degré amènera celle d'un statut pour les Directeurs. C'est d'ailleurs aussi ce que pensent les deux alliés syndicaux du GDiD, soit le SE-Unsa et le SGEN-Cfdt. (...)
(...) Je les en remercie, c'est l'heure de pousser à la roue. Car il est clair à mes yeux que si le GDiD doit continuer son travail de lobbying et faire connaître nos positions, c'est désormais sur le plan syndical, face à face avec nos prochains gouvernants, que les choses vont se jouer. Si nous devons obtenir un statut de Directeur d'école, c'est maintenant. (...)
..."
Voilà des mots que je partage pleinement. Le GDiD est actuellement en période de questionnement et de rénovation. Mais pour autant nous n'abandonnons rien de ce qui nous regroupe, soit l'obtention d'un statut pour les Directrices et Directeurs d'école. Nous avons eu du travail, nous en avons encore beaucoup qui nous attend, mais moi aussi je crois que nous sommes plus proches du but que nous l'avons jamais été.
1) le travail ininterrompu et régulier du GDiD depuis quinze ans a finalement payé. Aujourd'hui plus personne ne nie la nécessité de rénover la gouvernance des écoles, sauf peut-être quelques ultimes réfractaires (...). Syndicats réformistes et politiques de tous bords sont désormais conscients que le système de pilotage des écoles est devenu inopérant malgré la bonne volonté des personnels qui en ont la charge - et le mot "charge" est exactement le terme qui convient -.
2) la création de la "classe exceptionnelle" (...) pourra difficilement être remise en cause, car elle procède de longues discussions avec les grandes centrales syndicales qui toutes aujourd'hui l'ont actée. Les accords PPCR dans la Fonction publique ont été un remarquable travail de longue haleine et ne seront pas renégociés. Même si cette "classe exceptionnelle" ne concernera que peu d'élus au cours de sa première année d'existence, je rappelle qu'elle a été inventée pour reconnaître l'investissement de plusieurs métiers particuliers de l’Éducation nationale dont prioritairement les Directrices et Directeurs d'école. (...)
Notre éventuel statut (...) ne pourra passer que par une redéfinition de celui de l'école. La création d'établissements du premier degré amènera celle d'un statut pour les Directeurs. C'est d'ailleurs aussi ce que pensent les deux alliés syndicaux du GDiD, soit le SE-Unsa et le SGEN-Cfdt. (...)
(...) Je les en remercie, c'est l'heure de pousser à la roue. Car il est clair à mes yeux que si le GDiD doit continuer son travail de lobbying et faire connaître nos positions, c'est désormais sur le plan syndical, face à face avec nos prochains gouvernants, que les choses vont se jouer. Si nous devons obtenir un statut de Directeur d'école, c'est maintenant. (...)
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Voilà des mots que je partage pleinement. Le GDiD est actuellement en période de questionnement et de rénovation. Mais pour autant nous n'abandonnons rien de ce qui nous regroupe, soit l'obtention d'un statut pour les Directrices et Directeurs d'école. Nous avons eu du travail, nous en avons encore beaucoup qui nous attend, mais moi aussi je crois que nous sommes plus proches du but que nous l'avons jamais été.
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